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Les agents de quartier veut garder un œil sur nous... --- Wijkagenten willen ons in de gaten houden…

posté le 27/02/18 par anarchist Mots-clés  répression / contrôle social  veiligheids / terrorisme 

Un camarade a été contacté par la police locale qui veut lui parler une fois par mois.

Il a commencé à la fin de décembre, au début de janvier avec un certain nombre de lettres pour une "invitation à l’audition". La raison donnée était "activiste des groupes d’extrême gauche". Parce que la dernière lettre menaçait de retirer son domicile, le camarade a décidé de le contacter et de se rendre au poste de police à la mi-janvier.

Là, il a été accueilli par un commissaire et un policier de quartier. Ils ont indiqué qu’il était sur une liste de l’OCAM (centre d’analyse de la menace), probablement une liste d’extrême-gauche, et de la « catégorie 1 ». Analogue aux 4 niveaux de menace, l’OCAD divise également les personnes en catégories.
Le policier de quartier dirait qu’il devoir rédiger un rapport de suivi environ une fois par mois, et voulait alors parler avec le camarade tous les mois, à son domicile ou au commissariat.

Ne soyons pas intimidés ! Nous ne contrôlons pas ce qu’ils se font, mais on peut choiser notre réaction !

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Een kameraad is gecontacteerd door de lokale politie, die willen hem ongeveer één keer per maand spreken.

Het begon eind december, begin januari met een aantal brieven voor een “uitnodiging tot verhoor”. De gegeven reden was "aktivist van extreem linkse groeperingen". Omdat op de laatste brief gedreigd werd tot schrappen van domicilie, besloot de kameraad toch maar contact op te nemen en midden januari langs te gaan op het politiecommisariaat.

Daar werd hij verwelkomd door een commisaris en een wijkagent. Die vertelden dat hij op een lijst van ‘t OCAD (centrum voor dreigingsanalyse) stond, waarschijnlijk een lijst van extreem-links, en van “Categorie 1”. Analoog aan de 4 dreigingniveau’s, deelt het OCAD ook mensen op in categorieën.
De wijkagent beweerde ongeveer één keer per maand een opvolgingsrapport te moeten schrijven, en wou de kameraad dan ook ongeveer maandelijks spreken, bij hem thuis of op het commisariaat.

Laten we ons niet laten intimiteren door hun angstzaaierij ! Wat ze allemaal uitsteken hebben we dan wel niet in de hand, onze reactie erop wel !


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